PREMIER VOYAGE NORDIQUE, FAÇADES DE LA BAIE DE JAMES Cliché, Paul Lapointe, arpenteur-géomètre et ingénieur forestier, Moosonee, Ontario, août 1948.
EXCURSION, CONGRÈS INTERNATIONAL DE GÉOGRAPHIE, PORTUGAL Cliché, Camarate, Evora, avril 1949.
COLETTE LAFAY ET LOUIS-EDMOND HAMELIN Centre ville Grenoble, janvier 1950.
LA RIVIÈRE MASKINONGÉ, AFFLUENT DU SAINT-LAURENT Cliché, Albert Faucher, Saint-Didace, juillet 1950.
GÉOGRAPHES ET HISTORIENS SUR LES BORDS DU SAINT-LAURENT Cliché, L'Action Catholique, Citadelle de Québec, septembre 1952.
EXCURSION DANS LE PORT DE MONTRÉAL Collection Pierre Camu, Montréal, mai 1956.
MAISON DE PIERRES À SAINT-DIDACE Cliché, Louis-Edmond Hamelin, mars 1959.
CROIX DU CAPITAINE J.-E. BERNIER DANS L'EXTRÊME NORD DU CANADA Cliché, George Jacobsen, Winter Harbour/Havre de l'Hivernement, Île Melville, juillet 1963
LE TERRAIN, OUTIL DU GÉOGRAPHE Cliché, Dollard Beaudoin, Côte-de-Beaupré, octobre 1963.
PARTICIPANTS, COLLOQUE DU CENTRE D'ÉTUDES NORDIQUES CONSACRÉ AUX FAÇADES DE LA BAIE DE JAMES Cliché, Louis-Edmond Hamelin, Moosonee, Ontario, février 1967.
FONTE DE LA GLACE DANS LE SOL, BASSIN DU FLEUVE LENA, SIBÉRIE, RUSSIE Cliché, Louis-Edmond Hamelin, Tettigi sur l'Aldan, juillet 1969.
CÉLÉBRATION DU DIXIÈME ANNIVERSAIRE DU CENTRE D'ÉTUDES NORDIQUES DE L'UNIVERSITÉ LAVAL Cliché, Philippe Hamelin, Sainte-Foy, mars 1971.
AUTOUR D'UNE HORLOGE SOLAIRE Cliché, Philippe Hamelin, Cambridge, août 1974.
GOÛT DE LA NATURE D'UNE GÉNÉRATION À L'AUTRE Cliché, Louis-Edmond Hamelin, Sainte-Christine d'Auvergne, août 1980.
FACE NORD DE L'OBIOU ET DU MALPASSET, ALPES, FRANCE Cliché, Louis-Edmond Hamelin, L'Obiou, août 1985.
LES QUATRE PREMIERS RECTEURS DE L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS-RIVIÈRES Cliché, Claude Demers, Trois-Rivières, mai 1994.
DANS LE DÉCOR D'UNE PETITE NEIGE Cliché, Patrice Laroche (Le Soleil), 26 décembre 2001.
PENDULE FRANÇAISE DU XIX SIÈCLE Cliché, Québec, 2001.
PETITE FÊTE DE FAMILLE Cliché, Colette Hamelin, Sillery, septembre 2003.
SUR LES PENTES DE SKI, RÉGION DE QUÉBEC Cliché, Philippe Hamelin, février 2005
À LA RÉSIDENCE, SAINT-AUGUSTIN Cliché Véronique Hamelin, novembre 2005.
CÉRÉMONIE Cliché, Krystyna (Mirska) Hamelin, Ottawa, septembre 2005.
RAPPORTS ENTRE LES AUTOCHTONES, LES NON-AUTOCHTONES ET LA NATURE Cliché du massif floral, Véronique Hamelin, mars 2007.
En canot sur les rivières Bell et Nottaway au début de l'été; en avion, par la Gold Belt, d'Amos au Bottom of the Bay en août. Trois types de personnages représentés: Oblats (cinq) oeuvrant dans les missions périphériques, fonctionnaires du ministère de la colonisation (deux), hommes d'affaires régionaux (deux) auxquels s'ajoute le jeune économiste Louis-Edmond Hamelin.
C'était l'époque où le premier Maurice Duplessis voulait développer l'Abitibi septentrional par de nouvelles paroisses agricoles. Les mines, le forêt et l'hydroélectricité composaient d'autres espoirs de développement. Les Autochtones étaient tenus à l'écart de tous les projets.
1948 est de 36 ans postérieure à la provincialisation de l'Ungava et correspond à l'important voyage de Jacques Rousseau à la rivière Payne (Arnaud) dans le Grand Nord
du Québec. Par contre, elle est antérieure de 5 ans par rapport au Ministère canadien du
Nord, de 15, à la Direction générale du Nouveau-Québec et de 27, à la Convention
de la Baie de James.
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Reprise des congrès quadriennaux, le précédent ayant eu lieu en 1938. À la réunion de 1949, le Français Emmanuel de Martonne préside les géographes mondiaux.
Parmi les participants, se trouvent le guide Mariano Feio, Pierre Deffontaines de Barcelone (professeur invité à l'Université Laval, 1948- ), Marguerite Lefebvre de Belgique, Cemal Alagöz de Turquie, Austin Miller du Royaume-Uni. De la jeune génération, Jens Hansen de Norvège et Louis-Edmond Hamelin.
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Deux étudiants de l'Institut de géographie alpine de l'université fondé par le professeur Raoul Blanchard, devenu doyen. Tout en y enseignant, le maître, comme on le disait alors, avait fait plus de vingt séjours en Amérique du Nord et publié ses douze monographies sur le Canada français. Son prestige professionnel et son savoir sur l'américanité m'avaient attiré à cette université des Alpes. Absence de neige au sol.
Une bicyclette constitue un moyen commode d'atteindre la banlieue de résidence. La première année en France de Louis-Edmond fut celle de 1948-49; au cours de la vie, le sol de l'Hexagone sera touché au cours de trente-quatre autres années. Mariage avec Colette et autres circonstances ont conduit à ces profitables déplacements.
Louis-Edmond Hamelin, non loin de la terre familiale qui aboutait à ce cours d'eau. Le lac Maskinongé sur les rives duquel se trouve Saint-Gabriel de Brandon
est situé
à plusieurs kilomètres en amont et est accessible par voie d'eau. Chaloupe de type Verchères. Loisirs de pêche.
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Au Québec universitaire francophone, la géographie s'est implantée à l'aide de prestigieux maîtres français, le premier ayant été André Siegfried.
De droite à gauche, le major Georges Guimont, Colette Hamelin, Raoul Blanchard de Grenoble, Pierre Deffontaines de Barcelone, Gaston Dulong, Marcel Trudel, Geneviève Deffontaines et Louis-Edmond Hamelin.
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Activités du congrès de l'Association canadienne des géographes/The Canadian Association of Geographers. Au premier plan, Pierre Camu d'Ottawa et futur professeur à l'Université Laval. Au second plan, de gauche à droite, Pierre Dagenais, directeur, Institut de géographie, Université de Montréal, Fernand Ouellet, historien, Fernand Grenier, secrétaire, Institut de géographie, Université Laval et Marcel Bélanger, professeur de géographie, Université de Montréal. À cette rencontre, présentation de plusieurs communications dont l'une sur les termes en hydrologie par Louis-Edmond Hamelin.
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Les blocs, en granit rosé des Basses Laurentides locales, ont été équarris à
la masse par les tailleurs des solages d'église et retenus par maçonnage. La
maison, élevée au cours de la décennie 1880 sous l'influence de
l'arrière-grand-père Édouard Hamelin, possède des murs profonds ainsi que des
fenêtres ouvrant à la française. Le domicile se trouve à courte distance de
marche de la rivière Maskinongé ainsi que du village. À la fin du XIXe siècle,
elle a même abrité une chapelle privée. Sa localisation sur la terrasse
principale de la vallée permet, en direction de l'ouest, une vue panoramique
de plusieurs kilomètres.
En mars 1923, Louis-Edmond Hamelin naît dans cette impressionnante
habitation de campagne. Plus tard, côté façade, élévation d'un mât pour un
drapeau français flottant à l'arrivée, en 1951, de Colette Lafay, épouse de
Louis-Edmond. Travaillant dans des maisons d'enseignement à Québec et
allant régulièrement en vacances en France, ils
devront abandonner le foyer didacien.
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Signe élévé en 1909 avec du "bois de bateau", bien conservé dans un pays très sec et dont les nouveaux supports sont enrochés dans un cairn. Environ un demi-siècle plus tard, Louis-Edmond Hamelin, dans une bouteille à bouchon vissé, dépose un message au nom du Centre d'études nordiques de l'Université Laval et de The Tower Construction de Montréal. Manière de lier les générations de nordistes.
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Après les préparations et observations, commentaires synthétiques du professeur. Étudiants de Québec attentifs qui, d'ailleurs, auront à rédiger un compte rendu. Objectif du jour: considérer l'utilisation des terrasses Champlain par les hommes. Les sorties du genre sont des moments attendus et appréciés; elles ont de l'atmosphère, manifestent de la convivialité et donnent du sens au groupe.
Les excursions ont fait naître l'énoncé que "la géographie s'apprend par les pieds"; la caricature ne devrait pas occulter le rôle de l'intellect!
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Rencontre d'environ cinquante nordistes: Cris d'Ontario et du Québec,
universitaires, administrateurs de trois gouvernements, gens d'entreprises,
membres des clergés catholique et protestant. Hydro-Québec y présente le
premier projet hydroélectrique hudsonien, dit NBR dont parlera le premier
ministre Robert Bourassa en 1971. Création du terme Radissonie pour
désigner les façades terrestres de la baie de James. Le rapport du colloque
(179 p.) contient des textes en français, anglais, cri syllabique, cri
romanisé, glose plutôt rare à l'époque.
De gauche à droite, (au troisième rang) Henri Dorion, président, Commission
sur l'intégrité territoriale; (au cinquième) Hugues Morrissette, organisateur;
(au sixième) Jacques Rousseau, président du colloque; (aux neuvième et
onzième) Cris. Autobus partant pour Moose Factory, village historique de La
Baie.
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Trois types de phénomènes liés. En haut, mélèzes debout sur couche terreuse; au centre, large horizon blanchâtre correspondant à une nappe de glace enfouie; en bas, paquets de sol et arbres couchés descendus de la terrasse porteuse et localisés dans une niche topographique. "La fusion naturelle ou provoquée des masses de glace cause une réduction du relief local créant ainsi dans le paysage des dépressions dites de thermokarst. Cette fonte est souvent accompagnée d'écroulement et de glissement des dépôts latéraux ou de couverture. À la fin, le fond de la cavité peut être recouvert d'un mélange complexe de sol, de cailloux et de matière organique" (Hamelin et Cook,
Le périglaciaire/ Periglacial Phenomena, Québec, 1967, p. 22 et 23). Dans le Grand Nord canadien, la série de phénomènes semblables pouvant affecter des habitations et des pistes d'atterrissage est maintenant expliquée par le réchauffement planétaire.
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Le premier pas a consisté dans la rédaction par Louis-Edmond Hamelin d'un
mémoire, présenté au gouvernement en 1955, concernant un organisme
pluridisciplinaire ainsi qu'une station permanente dans le Grand Nord. Les
premières recherches datent de cette époque. En 1961, le CEN bénéficie d'un
arrêté véhiculé par le ministre René Lévesque. S'amènent des chercheurs
prestigieux dont l'ethnobiologiste Jacques Rousseau et le géologue André
Cailleux.
En 1971, conversation entre Henri Dorion et LEH, suite à un repas de groupe
dont le menu était exclusivement nordique (phoque, caribou); à l'arrière-plan,
le vice-recteur Fernand Gingras. Henri Dorion, diplômé en droit et en
géographie, après avoir publié un ouvrage remarqué sur la frontière du
Québec-Labrador avait, en 1969, tenu la direction du Centre. Ce polyglotte
deviendra fort connu, notamment en toponymie et au sujet du monde russe.
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Anne-Marie Hamelin, en stage d'été à la Lennox Cook School of English et Louis-Edmond, jardin de la résidence du linguiste Terence E. Armstrong, vice-directeur du Scott Polar Research Institute, Grande-Bretagne.
L'appréciation des grands espaces à faible pollution --- immensité nordique, montagne, terre agricole, vue d'amplitude sur le Fleuve --- est favorable au repos.
Ici, champ de pommes de terre soumis à l'assolement; à droite, chemin de ferme en situation médiane; au loin, maison et grange le long d'un chemin de rang. À l'arrière du photographe, au-delà d'un étang sis au pied d'un talus, les deux tiers du lot sont recouverts
de forêt primaire ou de plantation. Au fond, les Laurentides de Portneuf.
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Sommet du massif à près de 3000 mètres. À
gauche et en haut, la grande masse noire correspond à l'ombre d'une brèche dans laquelle s'est engouffrée une aile de l'avion dénommé Pèlerins canadiens, parti de Rome (Année sainte) le 13 novembre 1950. Le nombre officiel des personnes décédées est de cinquante-huit. Les corps sont très déchiquetés et éparpillés au bas de l'abrupt haut de 400 mètres
dans les talus d'éboulis, coin gauche.
Pour comprendre qu'un avion venant du sud puisse s'écraser sur le côté nord d'une montagne, il faut admettre que l'appareil s'était déjà engagé sur ce versant. D'autres anomalies du vol ont été relevées dans un ouvrage publié en 1990.
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À l'arrière au centre, le recteur-fondateur Gilles Boulet (1969-1978), à sa droite, Louis-Edmond Hamelin (1978-1983), à sa gauche, Jacques.-R, Parent (1983-1994). Au premier plan, Jacques Plamondon, depuis 1994.
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À l'occasion de la parution en version informatique et "papier" de l'ouvrage de Louis-Edmond Hamelin, L'hiver le Nord , tome II, Le Québec par des mots. Mise en ligne et édition par Pierre Martel et Hélène Cajolet-Laganière, linguistes de l'Université de Sherbrooke, avec la collaboration de Marie-Claude Lavallée.
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Collection Józef Mirski --- comtoises, pendules, coucous --- décorant les ameublements.
Au nombre des présents et de gauche à droite, Arnaud Hamelin-Lachapelle, Nadia Lachapelle, Mathieu Poliquin, Yves Lachapelle, conjoint d'Anne-Marie, et Louis-Edmond.
De gauche à droite, Louis-Edmond, Véronique Hamelin, monitrice de ski de haut niveau, Colette Hamelin, Patrick Hamelin, compétiteur.
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Philippe et Krystyna; à l'arrière, Patrick. Section de l'ancien Chemin du Roy.
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Invitation du Gouverneur général Son Excellence Adrienne Clarkson, à l'occasion de la remise à l'Inuite Sheila Watt-Cloutier d'une médaille portant dans la version française le mot gravé de nordicité. Philippe et Louis-Edmond à l'entrée de Rideau Hall.
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Situation imaginaire mais réaliste que le Québec aurait pu connaître au cours du XXe siècle. Le texte conduit notamment au décorticage d'un crime que le coupable avait pourtant voulu parfait.
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PREMIER VOYAGE NORDIQUE, FAÇADES DE LA BAIE DE JAMES
Cliché, Paul Lapointe, arpenteur-géomètre et ingénieur forestier, Moosonee, Ontario, août 1948.
En canot sur les rivières Bell et Nottaway au début de l'été; en avion, par la Gold Belt, d'Amos au Bottom of the Bay en août. Trois types de personnages représentés: Oblats (cinq) oeuvrant dans les missions périphériques, fonctionnaires du ministère de la colonisation (deux), hommes d'affaires régionaux (deux) auxquels s'ajoute le jeune économiste Louis-Edmond Hamelin.
C'était l'époque où le premier Maurice Duplessis voulait développer l'Abitibi septentrional par de nouvelles paroisses agricoles. Les mines, le forêt et l'hydroélectricité composaient d'autres espoirs de développement. Les Autochtones étaient tenus à l'écart de tous les projets.
1948 est de 36 ans postérieure à la provincialisation de l'Ungava et correspond à l'important voyage de Jacques Rousseau à la rivière Payne (Arnaud) dans le Grand Nord
du Québec. Par contre, elle est antérieure de 5 ans par rapport au Ministère canadien du
Nord, de 15, à la Direction générale du Nouveau-Québec et de 27, à la Convention
de la Baie de James.
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